Pour lui le poëme est à la fois une naissance et un testament. L'homme a répondu faire au fil du temps entre 150 et 200 lectures par années. Cette usage de la scène donne une importance considérable à l'oralité, pour lui l'interprétation de la poésie se fait «comme si chaque fois était la première et la dernière possible», et le poëme doit pouvoir soutenir cela chaque fois, tel une naissance, tel un testament. intense.
Acquelin partaga aussi que selon lui la poésie était un art de justesse, mais il répondait aussi plus tard que ses assonnances et ses rimes était pur accident, simplement plus conscients depuis l'apparition de l'expression orale dans sa vie de poëte.
Il désigna aussi sa poésie comme très contemplative.
Commentaire du Malin: la contemplation est quelque chose de très dangereux, parce qu'étant bien sûr un état, c'est avant tout un acte, un acte inactif par excellence, sans essence répandue (La vérité c'est ta vie qui défile).
aussi, si la poésie est un art de justesse
dis-moi
quelle est l'adéquation la plus juste ?
sinon
la vérité.
amis ! la vérité !
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