L'été de Mot de Passe
votre soirée littéraire
Mot de passe
WHO ?
knows
maintenant de façon évènementielle
Dieu, l'Humain et le Malin, sans ardeur ingrate,
Triumvirat et compagnie, de chaque strate,
Muse on veut faire sans mais le reste on y rate,
Nous t'invitons, viens donc ! Poésie scélérate.
le triumvirat
organisateur des soirées Mot de Passe
rodney noël raphaël de gaspard carl bessette
jeudi 6 décembre 2007
retour
Ça parle de poésie comme d'une technique de vidangeur, jamais un plein impact, une pleine mesure, qui a déjà existée paraît-il ! un vaste empire poétique canalisait la vie ! il y eut un temps... fucking foutaise aujourd'hui. À la dernière soirée Mot de Passe nous présentions Isidore Ducasse. Cela me rappel une anecdote qui est d'à propos ici. Les surréalistes avaient entendus parler d'un nouveau bar, le Maldoror, qui allait ouvrir ses portes au sein des milieux de l'inculte bourgeoisie. Le soir de l'ouverture ils entrèrent six ou sept en criant nous venons de la part du Compte de Lautréamont!! et bang les poings, les pieds, combat si éclatant que la presse du lendemain en parla, mentionnant au passage l'extraordinaire force de René Char qui portait six hommes sur lui en même temps (le même René Char qui était dans le maquis). - Non pas que j'encourage à la violence, mais cela est un rappel de notre poésie sans son plein impact, sa pleine mesure. Remettez cette anecdote en contexte et vérifiez-en les conséquences aujourd'hui. Le phénomène man !
Ce que Montréal vit de poésie aujourd'hui est à l'image de certains de ses habitants importants, tel que le maire Gérald Tremblay, le capitaine du CH Saku Koivu, - c'est correct, mais Montréal mérite mieux.
Merci.
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